Une exposition qui a attiré mon attention était Nouveaux Photographes, une nouvelle initiative de PHOTO 2022 pour mettre en vedette des photographes locaux émergents des plus grandes écoles d’art d’Australie. À noter était Rachel Main travail Reines de Session, un projet interactif qui existe à la fois ligne, et comme une exposition physique et une performance. Spectacle apporte l’énergie et les vibrations de la scène Krump australienne et néo-zélandaise au premier plan. Les portraits et les gestes isolés de la main créent une atmosphère immédiate, directe et intense. La confiance qui s’est construite au sein de ces communautés se révèle à travers des recadrages serrés et des portraits intenses. L’un des moments forts du festival a été une performance en direct de la communauté Krump lors de la soirée d’ouverture.
Un autre projet qui s’est démarqué de Nouveaux Photographes était Jahkarli Romanis, qui étudie les perspectives technologiques de la terre et du pays à travers des rendus Google Earth du paysage. Comme les images ne parviennent pas à décrire complètement, catégoriser ou explicitement une expérience, nous nous souvenons de l’enchevêtrement de la cartographie et du regard colonial.
Le deuxième moment fort pour moi a été la suite d’expositions du Centre de photographie contemporaine – Queering the Frame: Communauté, Temps, Photographie, organisée par Brendan McLeary. Le spectacle met en vedette les artistes australiens Helen Grace, Samuel Hodge, The Huxley, Brook Andrew, J Davies et Shannon May Powell. Et pour accompagner cela, deux petites expositions personnelles d’artistes internationaux Paul Mpagi Sepuya et Martine Gutierrez.